Anne AndersonChercheur principal : A. Anderson.

Des études antérieures menées par le laboratoire Alberini de NYU montrent que l’IGF-2 et L1 permettent de récupérer les symptômes neurologiques dans un modèle murin du syndrome d’Angelman.

Des analyses préliminaires du modèle de rat SA indiquent que les phénotypes EEG et de crise sont largement similaires à ceux observés dans le modèle de souris SA et les patients SA.

Les objectifs de cette étude sont dans le modèle rat SA  :

  • de déterminer si l’IGF-2 ou L1 modifie l’activité EEG ,
  • d’évaluer l’effet de l’IGF-2 ou L1 sur le seuil de crise d’épilepsie,
  • de déterminer l’effet de l’IGF-2 ou L1 sur le sommeil et le cycle circadien.